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10/06/2013

Sale temps de printemps pour les poètes...

Marché de la poésie ce week end... Des absents... De plus en plus nombreux... L'âge voyez vous mon ami... La poésie ça ne nourrit pas son homme, ça l'éreinte. En revue: Jacmo qui pousse toujours Décharge et la porte à bout de bras avec Kewes des éditions Rhubarbe, Vercey avec qui on s'est dit : on n'a rien à se dire. Bougel du pré de l'âge et la provoc affutée. Brémond éditeur de poésie uniquement, identique pope depuis les années soixante dix. Delort et sa revue Brèves. Stéphane de l'atelier du Hanneton avec qui on prépare un bouquin. Massot du dessert de Lune survivant du week-end; entre durite qui lâche, incendie criminel dans son hôtel... Avec qui j'ai sous le coude une nouvelle publication... Mais chut.... Silence pour l'instant. Beau samedi. Dommage dimanche... Des québequois, Poétes de Brousse, qui troussent des chansons paillardes, et trouvent que le rosé tiède et de premier prix est extraordinaire... Bon...si ça les contente... ma foi... Sont suffisament flag pour boire n'importe quoi... Je confirme...

Un nouvel absent aprés Malherbes, Jégou, Izoard, Autié, c'est au tour de Rüdiger Fischer...

Salut à toi compagnon et bon vent dans les étoiles.

Bayerwald 001.jpg

Commentaires

Ne jamais rien attendre, ni du public, ni des collègues, ni une ambiance, ni l'autre. Leçon retenue dans les discussions avec Rüdiger Fischer, facile à retenir, moins facile à vivre.
Un peu de nausée devant cette vie sans toi qui commence maintenant, père ermite, père nomade, tant de visages de toi que j'aimerais encore voir.
Merci

Écrit par : Julian Bellini | 21/06/2013

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